
dimanche 25 octobre 2009
Le Logan index

samedi 24 octobre 2009
Pretoria vs Kinshasa

Temps passé à l'immigration: 45 secondes (45 mn à Kin)
Douanes: Où ça? (il faut un ordre de mission ici)
Parking: Distributeur de tickets (militaire avec AK 47 à Kin)
Voitures: mesures contre l'importation d'occasions (pas de constructeur en RDC)
Age moyen des voitures en circulation (estimations): 6 mois (10 ans à Kin)
Protection des maisons: clôtures électriques et milices armées (barbelés et matraques)
Centres commerciaux: énormes, nombreux et remplis (inexistants à Kin)
Enfants dans les rues: 0 (18,000 à Kin) - gardons quand même à l'esprit qu'il existe une autre Afrique du Sud, loin des beaux quartiers de Pretoria
Officiers de circulations: inexistants (incontournables à Kin)
Duty free: Ferrari, Mont Blanc, Guess,... (3 magazines dans l'aéroport de Kin)
Et pourtant, c'est ici que je me sens bien...
vendredi 16 octobre 2009
Gazelle
Je sais que je n'ai plus un gros 4x4 comme au Sénégal et que notre nouvelle voiture est moins volumineuse que la plupart des autres à Kinshasa, mais elle a l'avantage de te déposer à l'école tous les matins petite fille...
mercredi 14 octobre 2009
Beni
Beni est un gros village dans le Grand Nord, au Kivu. L'atteindre peut prendre quelques jours mais cette fois-ci il n'a fallu que 2 jours à partir de Kinshasa car l'avion du PAM (Programme Alimentaire Mondial) a finalement décollé jeudi dernier et un petit coucou (une quinzaine de places) de la compagnie TMK assurait la liaison depuis Goma le vendredi.
4 jours sur place: Une banque attaquée, une compagnie de transport braquée, une station service qui explose et cause un incendie ravageur, deux licenciements pour faute lourde et le pire, une évacuation médicale qui n'a pas pu s'organiser et qui a conduit à un décès...
De retour à Kinshasa, la motivation pour soutenir les équipes sur place est à son maximum. Dimanche c'est Prétoria, j'espère que ça ira mieux là-bas.
4 jours sur place: Une banque attaquée, une compagnie de transport braquée, une station service qui explose et cause un incendie ravageur, deux licenciements pour faute lourde et le pire, une évacuation médicale qui n'a pas pu s'organiser et qui a conduit à un décès...
De retour à Kinshasa, la motivation pour soutenir les équipes sur place est à son maximum. Dimanche c'est Prétoria, j'espère que ça ira mieux là-bas.
mardi 6 octobre 2009
1 an, 1 feu, 1 annulation
Ce matin, en partant vers l'aéroport, pour la première fois depuis que nous sommes là (1 an et 1 jour), j'ai du m'arrêter à un feu rouge. Une ville de 10,000,000 d'habitants et un feu de circulation en état de marche... cela m'a plongé dans une certaine perplexité mais m'a aussi ouvert les yeux sur une des raisons du chaos qui règne sur les routes. J'avais déjà remarqué l'absence de stop ou de sens interdit, ou le fait que sur un rond-point, la priorité est à ceux qui s'engagent, mais bizarrement, l'absence total de feux ne m'avait pas encore choqué...
Je n'étais pas encore remis de ma "surprise" que le chauffeur s'arrête une seconde fois, alors que le chemin sur lequel nous nous engagions était absolument sans trafic. C'est alors qu'il se penche un peu en avant, regarde à droite puis à gauche et me dit d'un air détaché qu'il y a tous les jours des trains qui passent là... Nous étions en fait à moitié engagé sur un passage à niveau...
Une fois à l'aéroport, après avoir enregistré les bagages et obtenu la carte d'accès à bord, je repensais à tout cela en regardant vaguement CNN et les inondations qui frappent l'Inde en ce moment. C'est alors qu'on apprend que l'avion ne décollera pas car il n'y a pas suffisamment de passagers.... Nous tentons bien quelques palabres mais en vain... Alors, un coup de fil et Alain revient à l'aéroport, nous retraversons le passage à niveau, le feu rouge (qui dans l'autre sens ne fonctionne pas) et me revoilà à la case départ... sauf que je viens allègrement de perdre 4 heures...
Le plus étonnant est que je trouve tout cela tout à fait normal.
Je n'étais pas encore remis de ma "surprise" que le chauffeur s'arrête une seconde fois, alors que le chemin sur lequel nous nous engagions était absolument sans trafic. C'est alors qu'il se penche un peu en avant, regarde à droite puis à gauche et me dit d'un air détaché qu'il y a tous les jours des trains qui passent là... Nous étions en fait à moitié engagé sur un passage à niveau...
Une fois à l'aéroport, après avoir enregistré les bagages et obtenu la carte d'accès à bord, je repensais à tout cela en regardant vaguement CNN et les inondations qui frappent l'Inde en ce moment. C'est alors qu'on apprend que l'avion ne décollera pas car il n'y a pas suffisamment de passagers.... Nous tentons bien quelques palabres mais en vain... Alors, un coup de fil et Alain revient à l'aéroport, nous retraversons le passage à niveau, le feu rouge (qui dans l'autre sens ne fonctionne pas) et me revoilà à la case départ... sauf que je viens allègrement de perdre 4 heures...
Le plus étonnant est que je trouve tout cela tout à fait normal.
samedi 3 octobre 2009
On the Rumba river

4 ans
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